Des anciens du Lunatic au Cégep Édouard Montpetit

Par : Émilie Robert, c.o.

Marianne El-Sabbagh  et Christophe Roy-Allain, deux anciens participants du projet de magazine Lunatic,  ont donné une conférence au Cégep Édouard-Montpetit le 20 septembre 2017, devant une trentaine d’enseignants et d’étudiants. Ils ont été invités à parler de leur intégration au cégep, de leur participation au Lunatic et de leur choix professionnel. Christophe est diplômé du Collège Montmorency en Sciences humaines profil monde et est maintenant en 3e année du baccalauréat en droit de l’UQAM. Marianne El-Sabbagh est diplômée du Collège Montmorency en Sciences humaines profil monde et est maintenant en 3e année du baccalauréat en histoire de l’Université de Montréal. Émilie Robert les accompagnait pour compléter la conférence en parlant des caractéristiques de l’autisme et du travail qu’elle fait auprès des étudiants autistes.

conférence édouardmontpetit.pdf

Les étudiants du Lunatic/Autistes au collégial honorés par le Maire de Laval

Par : Émilie Robert, c.o.

lunatic maire laval

Les participants du Lunatic/Autistes au collégial ont été reçus  le 6 septembre 2017 à l’Hôtel de Ville de Laval pour une cérémonie de signature du livre d’or. M. Marc Demers, maire de Laval, voulait les féliciter pour leur implication dans ce projet et pour l’obtention du prix Gilbert-Leroux de la Fédération québécoise de l’autisme. Nous sommes très fiers d’eux !

Autisme et adolescence

Par : Émilie Robert, c.o.

autisme et adolescence

C’est le titre d’un autre livre que j’ai lu récemment, publié, il y a à peine deux mois, aux Presses de l’Université Laval. C’est un livre très touchant où une mère, Catherine Kozminski, nous parle des défis et réussites de sa fille autiste qui vient d’avoir 13 ans. Les propos de la mère sont commentés par une chercheuse du département de psychologie de l’UQAM, Natalie Poirier. J’adore les lectures où je peux apprendre comment se passe la vie au quotidien des jeunes autistes, car ces connaissances m’aident à mieux comprendre les étudiants que je rencontre. C’est un livre très actuel, facile à lire tout en ayant une rigueur scientifique.

Autisme et TSA : Quelles réalités pour les parents au Québec ?

Par : Émilie Robert, c.o.

parents TSA

Récemment,  j’ai pu mettre la main sur deux ouvrages québécois très intéressants, écrits par des chercheurs de l’UQAM et qui abordent le sujet de l’autisme sous un angle différent.

 

Le premier, Autisme et TSA : Quelles réalités pour les parents au Québec ? (Catherine Des Rivières-Pigeon et Isabelle Courcy, Presses de l’Université du Québec, 2017) présente les résultats de quatre recherches effectuées par des chercheurs de l’UQAM. Deux de ces recherches avaient pour objet la santé et les conditions de vie des parents. Les deux autres recherches portaient sur les effets de l’ICI (intervention comportementale intensive), qui est la principale méthode d’intervention utilisée au Québec pour aider les enfants autistes à développer des habiletés sociales et de communication. Pour une intervenante comme moi, il est très intéressant de connaître le point de vue des parents ainsi que l’expérience qu’ils ont vécue lorsque leur enfant était jeune. Plusieurs parents me parlent des défis et difficultés qu’ils vivent avec leur enfant autiste à travers les différentes étapes de leur développement. Ce livre permet de comprendre la fréquente détresse des parents et les moyens d’y remédier. Il est écrit de manière accessible et propose plusieurs pistes de solution.

L’art de tatouer à la main

Par Sebastien Lalonde

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Début septembre dernier, j’ai eu mon premier tatouage! Une heure et demi à souffrir pour marquer ma peau d’un symbole qui me tenait particulièrement à cœur. Avant cela, j’ai pris la peine de faire plusieurs recherches pour m’assurer des mesures à suivre ou simplement du tatouage en général. La signification, les soins, les différents styles etc. Pendant mes recherches, je suis tombé sur une méthode de tatouage qui m’a beaucoup intrigué et que j’aimerais partager ici : le handpoke tattoo.

Il s’agit d’une méthode de tatouage qui ne nécessite pas de machine, tout se fait à l’aide d’une simple aiguille. Le tatoueur piquera lui-même dans la peau à une fréquence d’environ 80 coups à la minute (une machine peut aller jusqu’à 3000 coups/minutes). Vous vous doutez donc que le temps de réalisation d’un tatouage à l’aide de cette technique est beaucoup plus long, évidemment. Par contre, la peau est moins agressée et va donc guérir plus vite.

Handpoke tattoo
Montage photo par : Sebastien Lalonde

J’ai moi-même tenté de faire du handpoke tattoo pour m’amuser (sur des oranges, pas sur ma peau) et le résultat est vraiment sympa et c’est très amusant à faire. Peut-être même que je me laisserais tenter par un tatouage fait à l’aide de cette technique un jour. Je vais prendre le temps de laisser guérir mon premier tatouage avant de penser à m’en faire faire un autre par contre.